Nougatine
SINNER ♦ Paresseux/Paresseuse
MESSAGES : 86
INSCRIPTION : 09/12/2009
AGE : 28
CREDITS : KIT 'by Shinobu sur {KNT]
ACTIVITES : Yeah...
CITATION : "En conclusion, on pouvait bien penser que saine d'esprit, elle ne l'était pas."
♦ Shut up ! Gold.SIWG: 15 NIVEAU: Intermédiaire BOÎTE DE PANDORE:
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Sujet: [ECRITURE] Nougatine <3 [Terminé - Intermédiaire] Lun 14 Déc - 19:31 |
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Pseudo : Nougatine <3 Depuis combien de temps écrivez vous : Euh... Pas mal de temps. Disons que je m'y suis mise sérieusement à partir du moment où j'ai découvert les forums rpg (béni soit-ils \o/), c'est à dire depuis un an, un an et demi ? entre les deux ^.- Pourquoi : Parce que je me trimballe un bon bagage d'imagination sur le dos, et il faillait bien que ça s'exprime ! Naturellement ça a pris la voie de l'écriture. Montrez nous quelques écrits de votre choix : C'est parti ! ^.^
ONE ; voici le prologue et le début du chapitre un d'une fic datant de mai, qui n'a jamais dépassé le premier chapitre... C'est un de mes défauts, j'ai 10 idées à la minute mais suis bien incapable jusqu'à présent d'en mener une à terme ^^' Je me laisse facilement distraire... Si vous voulez je mettrai la suite.
- Spoiler:
Prologue Moormock, un des deux mondes parallèle niché dans la dimension du Rêve. Le Rêve avec un « R » majuscule, Univers dissimulé dans les cieux des humains, composé de deux îles immenses. Bien que ces îles là ne soit pas entourées d’eau, mais d’azur. Moormock et Ahmoria. Ahrmoria, territoire moyenâgeux, refuge des rois cruels, des chevaliers assoiffés de gloire et des belles dames innocente à la recherche de l’Amour. Donjons, dragons et compagnie, beau royaume sympathique déchiré par d’incessantes guerres de pouvoir et vieux conflits poussiéreux entre familles royales. Autrement plus éclectique et coloré, Moormock. Mélange incongrue d’authenticité et de modernité, peuple hétéroclite, où les différentes races, hybrides ou pures se côtoient dans un quotidien plus ou moins harmonieux. Un empereur, le grand et gros Marvolo 1er, ainsi que quelques rois indépendants veillent sur tous ce joli petit monde. Dans cet étrange décor, vivent une poignées d’individus dispersés au quatre coins de l’île, noble ou petit escroc pouilleux ils ont tous en commun un lourd secret dont ils doivent aujourd’hui assumer malgré eux les conséquences. Leurs ancêtres ont commis un crime, mille ans après leur passé les rattrape. Quelque chose se prépare, quelque chose qui peut totalement bouleverser ce monde, mais aussi celui des Terriens…Le secret de Moormock…
Chapitre 1, l'innocence assassinée titre original : la joie assassinée Mariam, une des villes les plus peuplée de cette île, et pourtant également une des plus petite. En cet après-midi d’été, l’astre roi ne se lassait pas de darder ses rayons brûlants sur le pauvre peuple, accablés sous la chaleur. Le moindre petit coin d’ombre était envahi, les plages noires de mondes, les bourgeois et seigneurs se terraient dans leur demeure à l’air climatisé, tandis que les petites gens qui n’avaient pas cette chance se voyaient chassés de leurs fournaises, pardon, maisons où l’atmosphère était encore plus chaude qu’au dehors. Bien que le peuple dans cette partie de Moormock eurent été habituer à la chaleur, cet été là explosait tous les records de température. Les seuls énergumènes qu’on voyaient se balader en plein soleil, rayonnants étaient les Phyrrus, êtres hybrides à l’apparence humaine, mis à part leurs peau littéralement écarlate. Température corporelle avoisinant les 45 degrés, ils déambulaient au travers des rues surchauffées parfaitement à l’aise sous les regards jaloux et les râles des pauvres humains ou autres espèces transpirantes. Justement, Isis était un se ceux-ci. Ou plutôt, à moitié. Mi Phyrrus, mi humain, c’était un jeune garçon d’une douzaine d’année, peau couleur caramel, tignasse blonde en bataille et prunelles azures brillantes de malice. Bien bâti bien que d’assez petite taille, une musculatures bien développée caractéristique de sa race, il avait tout pour plaire aux filles si une innocente timidité ne l’avait tenu éloigné de la gente féminine.
TWO ; Voili voilou... un extrait d'une fiche de personnage récente, sur un forum inspiré de l'univers d'Harry Potter.
- Spoiler:
"Williaaaaaaame !"
… Maman fait traîner mon prénom avec son accent d'aristo british guindée et hautaine. Je soupire, mais demeure inerte, bien décidée à ne pas bouger le moindre muscle. La couette en plumes est si douce, si chaude, je ne vois pas pourquoi je quitterait le cocon qu'elle forme autour de mon corps alangui. Surtout pour satisfaire un énième caprice de « Madaaaaame ».
-Williame, ne me fait pas attendre je te prie !
Je sens dans son ton supérieur une légère faille, un tremblement, une pointe d'agacement. Fermant les yeux, doucement souriante je me laisse bercer par son impatience. C'est si bon de la tenir en mon pouvoir, même pour quelques secondes.
-Williaaaaaaaame !!!
Cette fois ma maternelle est au bord de l'hystérie, ou presque. Je la ferais bien mariner encore un peu... Seulement cette femme a le douteux privilège d'être ma mère, privilège qui lui confère en théorie une certaine autorité sur moi, sa chère fille. Mais, en tant que telle et en tant qu'elle même elle a surtout le pouvoir de me rendre la vie impossible, ce que madame n'hésitera sans doute pas à faire si je reste moi-même, c'est à dire rebelle, chiante et provocante. Je me mords douloureusement la lèvre inférieure. Un effort s'impose, donc... A contre cœur je glisse frileusement un pied nu hors de mon nid douillet, suivi d'une jambe, puis deux, et finalement je m'extrais totalement de mon lit à baldaquins. Rapidement, je défroisse mon t-shirt blanc et remet de l'ordre dans les frous-frous de ma mini jupe d'une main, tandis que l'autre coiffe maladroitement ma tignasse blonde. Efforts pour me rendre présentables que j'effectue sans aucune conviction, sachant que même avec la meilleure volonté du monde (que je suis loin de posséder), ma génitrice me trouvera inévitablement au moins une dizaine de défauts. C'est donc résignée que je quitte ma chambre.
...
-Par Merlin, mon enfant, tu es décidément maigre à faire peur !
Voilà ce qui m'accueille alors que je me tiens en haut du grand escalier, une main sur la rambarde, m'apprêtant à descendre et affronter ma mère. Sa phrase me coupe dans mon élan, je me ravise. Je me penche simplement par dessus la rampe, ignorant sa remarque.
-Tu voulais me voir, et bien je suis là. Qui a t-il ?
Ma mère me toise du bas des marches, je la domine mais cela ne l'empêche pas de me prendre de haut. Elle fronce une narine dans une mimique qui m'est maintenant familière et qu'il paraît que j'affiche moi aussi, parfois. C'est l'expression de quelqu'un ayant senti une odeur particulièrement mauvaise. Je tire nerveusement sur mon t-shirt dans lequel je nage, normal puisqu'il appartient à mon frère, de deux ans plus âgé que moi et de carrure bien plus imposante. En pensant à Justin une bouffée d'affection m'envahit, vite dissipé par la seule présence malfaisante de ma mère. Dans ce t-shirt, ma minceur est moins voyante, mais elle à des yeux d'aigles et il était inéluctable qu'elle ne remarque rien. Il est vrai que ces derniers temps, j'ai maigri, je suppose. Elle pense que j'ai des « problèmes » et que je suis anorexique, sa théorie favorite est que je me drogue en cachette. Ma mère dit se faire du souci pour moi, cela en serait presque touchant si ce n'était pas aussi ridicule... Pour l'heure, ma maternelle renonce à me dévisager et pousse un soupir à fendre les pierres.
-Williame, ma chérie, tu me le dirais si tu avait des soucis, n'est ce pas ?
Cette femme m'insupporte. Je lève les yeux au ciel, prenant mon ton le plus cassant pour lui répondre.
-Non maman, pardon de te décevoir mais je ne fume pas, ne me drogue pas, ne suis ni anorexique ni dépressive, et ni suicidaire, et surtout, je ne suis pas enceinte si c'est ce que tu veux savoir. Merci de ta sollicitude.
Peut-être que je vous paraît injuste, peut-être que pour l'instant ma mère vous semble une brave femme, se souciant de sa fille et l'aimant. Et moi je suis une belle peste, plus justement une adolescente revêche et butée. N'est ce pas ? Mais vous ne savez rien, vous ne connaissez rien.
…
Trois ans plus tôt
-Madame, soyez assurée de ma compassion. En la qualité d'ami de feu votre mari, je partage votre deuil et comprend votre peine. Sachez que...
Lucy Bower fait taire d'un geste de la main la tirade de l'homme, un autre geste à l'intention d'une domestique et le triste sire comprend qu'il est temps de prendre congé. L'autre main de la femme à présent veuve, délicatement gantée couvre sa bouche, toute sa physionomie indique la tristesse et l'incompréhension mais ses beaux yeux restent secs malgré tout. L'homme partit, Lucy se laisse tomber sur son fauteuil préféré, trônant au milieu du salon. Sa main retombe sur ses genoux. Domestiques et esclaves se sont retirés, le silence règne. Soudain une petite voix retentit, enfantine et innocente, un peu fluette. « Maman ? » Pourtant la voix trahit une dureté nouvelle, un peu du voile de l'enfance a glissé, révélant... quelque chose de nouveau, d'indéfinissable. Lucy se crispe dans son fauteuil, elle voudrait répondre mais sa faible tentative de parole s'étouffe dans sa gorge. De toute façon que pourrait elle dire ? « Il est mort, c'est ça ? » La femme sursaute, contemple sa fille qui se tient maintenant juste devant elle d'un regard vide, mais malgré ses efforts pour paraître inébranlable un frisson la parcourt. Williame a 11 ans, elle a sur le visage une expression incrédule, les lèvres pincées comme si elle réprimait un sanglot. Elle fouille dans le regard de sa mère, cherche une réponse, de l'amour... Mais bientôt sur la frimousse juvénile la résignation efface tout autre sentiment.
…
Ma mère est veuve, cela fait maintenant presque quatre ans que William Bower, mon père, a quittée ce monde. Officiellement il s'est suicidé. Mais cette affaire reste sombre. Et je le sais au plus profond de moi, ma mère a sa part de responsabilité. Le mois qui a précédé sa mort, c'était pendant les vacances d'été. Papa était sombre, taciturne, il ne mangeait plus. Il a finit par s'enfermer dans la bibliothèque qui avait toujours été son refuge, il n'en sortait que pour manger, et encore... Bientôt il a tourné le dos au lit conjugal, passant ses nuits dans la bibliothèque sur un lit de camp. Mère faisait comme si de rien était, plus orgueilleuse que jamais. Elle affirmait avec dédain que ce n'était qu'une petite dépression passagère, que tout rentrerait bientôt dans l'ordre. Mensonge... On en voit le résultat. Ma famille est plus ou moins ouvertement attachée à... au seigneur des ténèbres. Je soupçonne ma mère d'être Mangemort à part entière, mais mon père ? William Bower était un homme secret, peu enclin aux démonstrations affectives mais il est certain qu'il nous aimait, moi et mon frère, sous ses aspects un peu bourrus. Je me suis toujours mieux entendu avec lui qu'avec mère, et je crois qu'il en allais de même pour Justin. En tout cas, le moins que l'on puisse dire c'est que nous n'avons jamais eu de grandes conversations sur nos opinions respectives, et j'ignore si il penchait plutôt vers le gouvernement ou l'Ordre. Bref... J'ai le pressentiment qu'il a été assassiné. Par qui, je n'ai aucunes preuves cependant je sais que mère en sais plus que ce qu'elle dit. Indirectement ou non, elle est responsable, c'est certain.
…
Je m'aperçois qu'elle me dévisage à nouveau, une moue dubitative sur sa bouche. Je la regarde aussi, concentrant tout le mépris dont je dispose dans mes yeux. Ma mère est belle. A cet instant, je m'en veux de penser ça mais c'est un fait, elle est belle. Quoi de plus normal après tout quand on sait que du sang vélane coule dans ses veines, sang qu'elle m'a d'ailleurs transmis. Nous ne sommes pas de pures vélanes, disons demi mais cela nous suffit pour posséder une beauté et un tempérament hors du commun. Est-ce cela qui à séduit mon père ? Sans doute, mes deux parents n'ayant absolument rien en commun. Mais leur mariage était avant tout une union de sang, une alliance entre deux illustres familles. Et c'est probablement ce qui m'attend moi aussi.
-Ça ne sert à rien de te braquer de la sorte. Je peux t'aider tu sais...
Je lève les yeux au ciel, sans prendre la peine de répondre. Elle comprend sûrement le message puisqu'elle abandonne la partie dans un nouveau soupir, et quand elle reprend la parole c'est sur un ton las et usé.
-Descends. Elle marque une pause. J'ai à te parler.
J'obéis, descendant lentement les marches jusqu'à elle. Elle ne trahit aucun geste d'impatience, et quand je pose les pieds sur la dernière marche me désigne un fauteuil d'un mouvement ample, m'invitant à m'assoir. Ce que je fait. Elle prend place en face de moi, sur un autre. Avec une pointe de tristesse mêlée de haine je m'aperçois que cette scène ressemble étrangement à celle que nous avons vécues il y a quelques années, quand papa est mort. Je garde un silence obstiné. Une minute entière s'écoule sans qu'aucune de nous deux prenne la paroles, puis finalement ma mère se lance, brutalement.
-Que pense tu de Ludovic ? Il est charmant, non ?
J'écarquille les yeux, décontenancée. Je savais qu'un jour cette conversation devrait avoir lieu, cependant je l'imaginais bien plus éloignée. Prise au dépourvu, je balbutie :
-P... pourquoi ça ?
Mère me toise, un fin sourire moqueur s'étirant sur ses lèvres. Elle à atteint son but, me déstabiliser. Je me mords violemment la lèvre inférieure, en colère contre moi même.
-Allons, ma fille. Une alliance entre nos deux familles serait une très bonne chose...
Elle se lève, majestueuse.
-Le temps n'est pas encore venu, mais réfléchis.
Elle part sans m'accorder un regard, je reste immobile, révoltée, puis songeuse. Après quelques minutes je me relève doucement, et rejoins ma chambre en traînant des pieds. Je me glisse à nouveau sous la chaude couverture que je n'aurais jamais du quitter.
THREE ; mon rp préféré du moment, avec la même personnage, ma petite Willy ^.-
- Spoiler:
Une pure petite pile électrique. En plus sexy...Voilà ce que j'étais. Aujourd'hui. Demain... Qui sait ? J'étais si instable. J'en avais conscience au moins, c'était un premier pas vers la guérison me proclamait on bien souvent. Et si la malade ne veut pas guérir ?!
Dans ces moments là, mon insupportabilité coutumière et génétique dépassait sans effort le seuil du tolérable. Je n'avais même pas besoin de me forcer, oui mon cher, je suis absolument naturelle ! Naturellement soulante. Je ne le faisais pas exprès, pourtant... Mais dans ces moments là personne ne pouvait me suivre. Dans ce vaste monde qu'est Poudlard, peu d'êtres en avaient la capacité physique et mentale. Et ces damnées exceptions, par le Diable, je n'avait encore pas eu l'immense honneur, et plaisir, de les rencontrer. Dans le jeu qu'est la vie, tout est une question de plaisir. Ceux qui ne l'ont pas compris sont des imbéciles.
Je suis malade. Si tu le veux... Ils peuvent bien dire ce qu'ils veulent. Peut-être ont ils raison après tout... Comment savoir ? Je suis illogique. Ce mot me fait sourire, il me colle à la peau. Pour moi, il se traduit par inordinaire, exceptionnelle. Mon mode de pensée, mon esprit et ma personnalité, tout ce qui fait de ma moi ce que je suis, ont depuis longtemps quittés les sentiers battus et les affres du commun. Et alors ? Est-ce si grave ? Ça les dérange. Je m'en fiche, je continuerait. A être illogique. C'est tellement plus drôle !
J'éclatais de rire devant la mine déconfite de mes amies. Rigoler est bon pour la santé, on ne vous l'a jamais dis ? Alors je ne vais pas m'en priver. Je me calmais, la dardant d'un regard affectueux. Il est vrai que cette fille m'impressionnait. Un bon quart d'heure que j'avais lancé mon petit numéro, babillant, le sourire ingénu aux lèvres, les prunelles scintillantes. Intarissablement bavarde, de surcroit incapable de rester en place. En cette fin d'après midi nous, c'est à dire une petite bande exclusivement féminine de cinquième année avions trouver refuge dans le parc, profitant des quelques rayons de soleil, si rare en ces temps qui daignaient miraculeusement honorer notre triste et grise monotonie. Assise en désordre sur un des bancs, la conversation suivait son cours. Enfin, assise, ça allait bien cinq minutes. Je ne cessais de me lever, papillonnant autour de mes camarades, apostrophant ceux qui passaient près de nous, résolument infoutue de rester à ma place. Quand au cours de la conversation, sous mon influence il avait bien vite pris un tour des plus loufoque. Rapidement une première vague trop prude et conventionnelle s'était éclipsée, peut-être vaguement effarouchées. Seules demeuraient une petite poignée de filles en mal de divertissement se réfugiant auprès de mon innocent dévergondage étaient demeurées, et c'était celles là qui me dévisageais, se demandant avec force d'étonnement comment je tenais cette forme et ce rythme effréné. Question d'entraînement voyons !
J'observais du coin de l'œil leurs visages fatigués, sous le poids notamment de la montagne de devoir dont nous avait gracieusement chargée. Pauvre petites choses... Mes pensées à moi étaient à des années lumières du travail scolaire.
En ma compagnie, on ne pouvait pas s'ennuyer. Cependant moi je le pouvais. Les tristes donzelles que je côtoyais n'offraient pas beaucoup d'inspiration à ma douce folie, et leurs réparties étaient à la hauteur de leurs cernes équivoques. Fades et fatiguées. Qu'a cela ne tienne...
Sans plus de cérémonie je les plantais là, lorgnant déjà une proie, hm, beaucoup plus savoureuse. Gary Fullman... Le Serdaigle de septième année était sagement installé sur un banc voisin, plongé dans un livre. Un peu trop sagement à mon goût. Malicieuse, je me dirigeais silencieusement vers le jeune homme pour me laisser nonchalamment choir à ses côtés, avec un demi sourire avenant en guise de bonjour je passais mes jambes par dessus les siennes et un bras derrière son dos. J'enchaînais, lui plaquant un bisou sur chaque joue.
- WILLY - Intéressante lecture ?
Faites vous du rp : Voui, sur environ quatre forums rpg. Je mettrais les adresse si vous voulez. Autre chose : C'est la troisième fois que je remplis ce questionnaire, les deux fois précédentes ça m'a fait un gros bug au moment de l'envoi >< J'espère que cette fois est la bonne *_* Si ça ne suffit pas dites le, j'ai encore plein d'autres textes en réserve ! Et pour mes derniers écrits en date, je vous invite à allez faire un tour dans ma galerie ^.~ (lien dans ma signa')
Tchous ! =)
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